agoraphobie et phobie sociale De la détresse humaine à l'enfer psychologique nalpa Lyon

Publié le par DASSIGNY

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Dimanche 10 Juillet 2005

agoraphobie et phobie sociale De la détresse humaine à l'enfer psychologique nalpa Lyon

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 AGORAPHOBIE ET PHOBIE SOCIALE ET PHOBIES De la détresse humaine à l'enfer psychologique nalpa Lyon

De la détresse des AGORAPHOBIE ET PHOBIE SOCIALE ET PHOBIES

TOUTE LA SAGESSZ DU CHAGRIN, DE LA PEUR ET DU DESSESPOIR

L'excès de chagrin rit. L'excès de joie pleure. La joie imprègne. Le chagrin fait saillir. William Blake, Proverbe de l'enfer.

agoraphobie et phobie sociale agoraphobie et phobie sociale Plan anti solitude été 2005 Lyon nalpa

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PHOBIE SOCIALE DEPRESSION; AGORAPHOBIE PHOBIE SOCIALE DEPRESSION ... ...
phobique.over-blog.com/ - 103k - 24 juin 2005 - En cache - Pages similaires

Solitude affective en ces mois d'été.

 (La douleur "intolérable" où 38° à l'ombre de soi.)

Agoraphobie et phobie sociale : solitude affective en ces mois d'été, loin de vos proches, ami(e)s, parents. Sans personne à qui vous confier, sur qui vous "reposer" où qui vous réconforte sur la valeur de votre existence. Remise en cause, en question, sur votre solitude, sur votre vide intérieur. Vous vous sentez un peu "seul au monde" comme si vous pouviez prendre plusieurs directions de vie sans que quelqu'un s'en préoccupe vraiment. Vous vous sentez un peu "flotter dans le vide", sans repères, sans échos extérieurs, rien qui donne sens à votre vie...Combien encore de suicide cette été ?

Merci pour eux...

Et merci de m'avoir lu, et si vous voulez réagir à ce message, vous êtes les bienvenus...

NALPA propose la mise en place d'un plan anti-solitude pour cet été à Lyon.

agoraphobie et phobie sociale vaincre la solitude pour cet été à Lyon.

Lyon 38° à l'ombre de soi.

agoraphobie et phobie sociale : Plan anti-solitude été 2005 Lyon.

un Point de rencontre est déjà à votre disposition les samedis matins de 8h00 à 12h00 au 13, rue Antoine Fonlupt 69008 Lyon.

Question : Que fait la F.N.A.P.- Psy et Mme Claude FINKELSTEIN ?

Auteur : sophrologielyon 

Solitude affective en ces mois d'été.

Agoraphobie et  phobie sociale stages d'été juillet et août nalpa Lyon

agoraphobie et phobie sociale agoraphobie et phobie sociale stages d'été nalpa lyon >>> Suivez le lapin blanc....

La Phobie dont vous êtes le héros©.

Les mythes du héro qui ont cours dans toute culture ou chez tout individu indiquent quels attributs représentent, le bon, le beau, et le vrai et nous apprennent, par conséquent, les aspirations culturellement valorisées. Nombre de ces histoires sont archétypales. Les archétypes, ainsi que l'a postulé C.G. JUNG, sont des modèles immuables profonds de la psyché humaine qui maintiennent à travers le temps, leur puissance et leur présence.

Joseph Campbell dans son ouvrage, Les héros sont éternels a très bien constaté que les mêmes histoires, contes, légendes ont été racontées sans cesse tout au long de l'évolution de l'humanité. On les retrouve dans toutes les cultures, avec des noms et des détails différents. Tout en gardant les grades lignes fondamentales du thème mythologique universel de l'aventure du héro : Le MONOMYTHE.

La Phobie du Phénix©.

Comme le phénix, oiseau fabuleux qui s'est exposé aux flammes du bûcher pour renaître victorieux, chacun est appelé à s'exposer courageusement aux flammes de l'inconscient pour mourir à son passé et devenir celui qu'il est réellement.

Phobie et changement©.

Je tourne en rond, les choses sont bloquées, je ne vois pas de possibilité de changer, j'ai déjà rencontré X thérapeutes, c'est toujours pareil, jaimerais bien, mais je ne peux pas, cest impossible... La perspective du changement peut vous effrayer, ou vous remplir d'espoir et de jubilation. Votre réaction et vos actions sont intimement liées à votre manière d'aborder la nouveauté.

Phobie et dragon intérieur©.

Combattre le dragon, c'est apprendre à connaître et à maîtriser sa part animale pour la mettre au service de sa part humaine spirituelle et ainsi retrouver sa dignité et son potentiel de liberté.
 

Bien que l'évolution de l'être humain et celle de l'animal soient extrêmement différentes, on peut observer qu'une part du comportement humain est comparable au comportement animal : il s'agit de tout ce qui, en l'être humain est inconscient, passions, instincts, etc. et qui, parce que c'est inconscient, le rend manipulable.

Mais l'être humain n'est pas cela, bien au contraire ! Et, en identifiant de quel animal, notre comportement se rapproche le plus, chacun de nous peut apprendre à connaître puis à maîtriser sa nature animale pour la mettre au service de sa part humaine et spirituelle et, ainsi retrouver conscience de sa dignité et de son potentiel de liberté.

C'est pourquoi, l'animal descend de l'être humain, et non l'inverse.

Phobie et voyage dans les profondeurs de l'inconscient.

1) Mécanismes généraux de lanxiété sociale

a) La peur du regard

La peur du regard est un facteur originel et commun à la timidité, la phobie sociale et la personnalité évitante ; la crainte dêtre exposé au regard dautrui est systématique. A lorigine du mécanisme, elle va ensuite en stimuler le développement, la plaçant au centre de la problématique cognitive. Ce sont les proportions et la nature handicapante qui mènent au trouble pathologique.

Personne naime être regardé car soutenir un regard peut signifier sengager dans un affront : chez les mammifères, le regard fixe sur lautre est une façon dasseoir sa dominance ; il sagit bien là dune peur instinctive.

b) Le regard devient jugement

La peur du regard se concrétise psychologiquement : la relation est vécue comme une évaluation et le sujet ainsi tourné vers lui-même, sen détourne.

La crainte dêtre jugé est en lien avec dautres mécanismes tels que :

≈ La peur de soi

Le sujet a préalablement mis en place de façon inconsciente une anxiété anticipatoire quant à ses propres réactions, générant des symptômes qui font partie intégrante du vécu anxieux de la situation.

On peut donc individualiser des symptômes psycho corporels (« je bafouille »), cognitifs (« je suis nulle ») et comportementaux (« je ne vais plus savoir quoi dire ») avec des attitudes dinhibition ou dévitement qui à force, font accroître la valeur anxiogène de la situation et auto nourrissent le vécu du trouble.

≈ La peur de limage de soi

Le sujet présente des difficultés à sadresser des compliments sur ses propres performances ; il en découle un grand besoin de reconnaissance. Le désir de donner une bonne impression est donc fréquent. Le problème naît de la présence conjointe de cette ambition et de la peur de ne pas y parvenir ; désir et peur sont ici à la naissance du trouble et les performances sont nécessairement insatisfaisantes.

Cependant, lanticipation anxieuse de la phobie sociale présente certaines particularités : autant il est irrationnel de craindre une souris autant il est rationnel de penser que lon peut échouer à une performance sociale avant même de linitier. La phobie sociale inhibe et le sujet nest donc pas toujours en pleine possession de ses moyens. Lanticipation anxieuse de la phobie sociale sinscrit donc dans un fond de réalité : inhibé on est moins bon socialement.

Cet aspect sera à prendre en compte du point de vue thérapeutique pour mieux neutraliser lanticipation anxieuse (cf chapitre incidences thérapeutiques)

c) modèles détude

Modèle psychosocial

Selon les auteurs SCHLENKER et LEARY, lanxiété sociale résulte de situations réelles ou imaginaires impliquant une évaluation personnelle faisant intervenir la motivation à faire bonne impression sur les autres mais avec doute sur ce résultat en présupposant des réactions dinsatisfaction dautrui ; la motivation devient un concept central. Ce modèle c'est-à-dire le modèle de présentation de soi, qui intrique tout un jeu de processus motivationnels et cognitifs peut sappliquer à tous les modes de lanxiété sociale. De plus la problématique de lattention portée sur soi apparaît comme essentielle.

On pourrait lillustrer en imaginant le timide ou le phobique debout, prêt à partir les deux pieds sur les freins.

Plusieurs autres modèles ont été étudiés dans le trouble anxieux en situation sociale et particulièrement dans la phobie sociale et la personnalité évitante :

Le modèle de conditionnement

la phobie sociale surviendrait suite à lexposition à un stimulus inconditionnel, tel que un échec social, une humiliationEn effet 50% des sujets ayant une phobie sociale rapportent avoir vécu une situation sociale vécue comme traumatisante au moment dapparition de leur trouble.

Le modèle cognitif

il existerait en mémoire à long terme des schémas cognitifs de danger ; la spécificité des schémas anxieux , et a fortiori chez les anxieux sociaux , aboutirait à une surévaluation du danger de lenvironnement notamment à partir de la présence de croyances dysfonctionelles concernant lévaluation de la performance « je dois être approuvé par les autres » , concernant lévaluation sociale « si je fais une erreur les autres vont me rejeter », et concernant soi-même « je suis stupide et incompétent ».

2) Timidité et intimidation

Le concept de timidité est un concept laïc et large ; sa prévalence élevée (autour de 40% avec un pic pour les douze quatorze ans) obscurcissent sa signification .Il a pu être étudié comme émotion, tempérament, ou trait de personnalité au carrefour de la nomenclature médicale et la psychologie sociale ; sa définition est large et ne se place dans le champ de la pathologie même si la timidité peut handicaper toute un vie ou donner limpression au sujet de « vivre à moitié » .

Timidité vient du latin

timere apparu au 16ème siècle qui signifie celui qui craint Dieu . Au départ timoré avait donc un sens laudatif ; on voyait dans cette crainte toute religieuse la preuve dune âme scrupuleuse, désireuse déviter le Mal et le signe patent dune crainte légitime de Dieu.

Ce nest quau 18ème siècle que le terme prend un sens péjoratif : il désigne alors celui qui a peur des responsabilités, de limprévu, ou celui qui nose pas reconnaître ses propres désirs, le sournois envieux.

Si elle est bien une peur elle reste une peur très particulière car induite par la présence dautrui

JANET parle de crises dintimidations violentes et passagères quil oppose à ce quil appelle la timidité pathologique insidieuse et durable. DUGAS distingue les petits timides, sujet au trac, des grands timides dont la vie entière est gênée par « ce sentiment aigu de lincommunicabilité des êtres ». Au trac- émotion il oppose la timidité- sentiment installée à demeure et composante irréductible de la personne.

DUPUY établit une distinction nette entre la timidité brute , le trac, reconnaissant justement que tous les êtres humains peuvent en être frappés et la timidité réfléchie dont le caractère

enveloppe lensemble des conduites de la personne et donne lieu à des formations réactionnelles complexes.( scrupules,susceptibilité,autoritarisme)

Comme lécrit DUGAS sous sa forme spontanée, la timidité est une disposition passagère, non un état durable ; son vrai nom est intimidation et non timidité.

Lémotion dintimidation, comme crise paroxystique, semble bien lexpérience immédiatement visible et aisément observable de ce quon appelle en général timidité.

Dans tous les cas, que la timidité soit définie par la fréquence des crises dintimidation ou bien par les formations réactionnelles secondaires, lélément premier fourni à lobservation reste la crise dintimidation, ce trac paralysant dont le sens étymologique évoque bien la panique de celui qui se sent traquer et ne sait plus où se mettre.

Lors des accès aigu dintimidation se mêlent des phénomènes physico physiologiques et cognitifs. Lintimidé présente des signes dinhibition gestuelle, des modifications vasomotrices périphériques (pâleur, rougeur) et par laccélération du pouls.

Langoisse qui accompagne ces signes visibles est ressentie par le sujet sous forme de contractions de la gorge et du creux épigastrique ; le flux salivaire se tarit tandis que la transpiration cutanée devient abondante. Confusions et interférences des vocables donnent langage un aspect dysarthrique et pseudo aphasique.

A létat paroxystique, lintimidé est incapable de se soustraire à la situation gênante et reste pétrifié.

Parallèlement à ces troubles physiques apparaissent des symptômes mentaux : lintimidé ressent une véritable déroute intellectuelle, une panique du sens, et connaît un état de confusion intellectuelle complète. Tout se passe comme si le timide se sentant inopportun adoptait des comportements inopportuns.

Ψ Présence dautrui

Si la crainte ou la peur naissent devant des êtres ou des choses, lintimidation est une angoisse qui ne naît quen présence des êtres ; elle est dabord une réaction de la totalité du sujet à présence et à lattention dautrui . Il y a dans lintimidation la présence dun alter égo, la reconnaissance dun autre soi, dune conscience devant laquelle on se présente et pour laquelle on devient objet de représentation. Lintimidation est donc bien ce trouble privilégié où transparaît une sorte de crainte de limportance dautrui .Tout se passe comme si le pouvoir attribué à lautre provoquait une réaction de déroute globale. 

Il est donc possible de cerner plue près lintimidation : elle semble être la crainte de blessures ou de rejets comme réponses possibles de notre demande à lautre

Lintimidation est donc anticipation défavorable au sein dune situation daltérité et réaction émotionnelle de fuite devant ce simple possible ; lintimidé est pris entre des désirs contradictoires : lenvie de comparaître devant autrui pour se rassurer sur lui-même, un profond désir de plaire et la crainte que cette comparution ne produise un jugement défavorable.

De fait dans lintimidation, le sujet semble en porte à faux vis-à-vis dautrui .Son état émotionnel traduit la contradiction de son désir et de son attente ; il sagit donc là dun conflit cognitif intrapsychique à lorigine de la problématique de lintimidé.

Par le biais de lattention quautrui me porte, je me sens renvoyé à moi-même ; par son détour je suis mis à distance de moi et devient le spectateur de mon action. Il y a donc au moment de la crise un dédoublement du moi entre un acteur et un spectateur .Cependant ce dédoublement est imparfait et confus.

Lintimidation comme crise paroxystique où se dévoile le mieux la timidité commence donc lorsque le sujet cesse dêtre entièrement absorbé par ce quil a entrepris pour penser tout à coup, sollicité par la présence de lautre ; à limpression quil peut donner de lui-même.

JUDET précise que la timidité est linterposition au cours de lacte entre son inauguration et son achèvement, de la pensée du moi , en tant que susceptible dêtre affecté par un jugement dépréciatif ; le sujet , en proie à la crise émotionnelle est tiraillé entre des représentations quil ne peut unifier ( action et attitude critique de laction) des sentiments quil ne peut concilier ( valorisation et crainte d autrui ; confiance en soi et doute) et des désirs quil ne peut réunir ( affronter ou fuir autrui).

Enfin il a bien chez lintimidé un désir certain de communication avec autrui ce qui nous le verrons plus tard, représente une différence fondamentale avec la famille des phobiques ou des personnalités évitantes.

Le timide peut parler de son trouble à un proche et lanxiété diminue avec la répétition des contacts ; la qualité de vie est donc, pour la majorité des cas, peu altérée.

3) Timidité installée

La timidité sinstalle lorsque le sentiment dinsécurité devient réfléchi ; c'est-à-dire lorsqu apparaît la rumination consciente de lintimidation comme dune réaction catastrophique possible devant autrui .La timidité nest plus la crainte dautrui mais la crainte de soi devant autrui .Il sagit dune véritable attitude existentielle où lidéal du moi est en rupture avec limage de soi.

La définition de CHEEK et BRIDGES avance que la timidité est lassociation dans des proportions variables chez un individu qui vit ou anticipe une situation sociale donnée des manifestations danxiété, de pensées négatives quant à sa valeur et dun comportement dinhibition et dévitement.

DUPUY évoque les stigmates de la timidité : la pusillanimité pratique, le misonéisme , la lenteur délaboration de la pensée, l esprit de routine sont les plus souvent des réactions de défense grâce auxquels le timide parvient à éviter les situations daltérité à fort risque.

A linverse de lanxiété de performance, la timidité ne se dissipe pas lors du passage à lacte mais perdure dans un état latent dinhibition qui peut se dissiper en familiarisant les rencontres sociales et avec lapprentissage de nouvelles compétences : le timide retrouve alors un minimum daisance et de capacités à communiquer.

Linhibition comportementale vis-à-vis du non familier vue par KAGAN représente sans doute la composante tempéramentale la plus génétiquement déterminée de la timidité.

Il sagit du comportement dinhibition et de retrait que montrent certains enfants dès la deuxième année de vie, en présence dune personne, dun objet ou dune situation non familiers, phénomène quantifié en laboratoire à laide de stimuli standardisés. On dénote aussi une réaction du système sympathique lors de ces confrontations.

Linhibition comportementale se révèle lorsquelle est stable pendant lenfance et demeure

un facteur de risque pour les troubles anxieux de lenfant et de ladulte en particulier pour le trouble panique avec agoraphobie et pour la personnalité évitante.

Anxiété, évitement et cognitions négatives sont donc les trois piliers de la timidité et ils se retrouvent de façon qualitativement plus prononcées dans la personnalité évitante et la phobie sociale.

TURNER et al ont réalisé une comparaison systématique de la timidité et de la phobie sociale selon six dimensions :

√ Caractères somatiques    √ Caractères cognitifs   √ Comportement social   √ Fonctionnement quotidien  √ Evolution

√ Début du trouble

La phobie sociale et la timidité partagent les mêmes caractéristiques physiologiques et cognitives mais sont différentes dans les autres dimensions. Cependant les différences sont essentiellement quantitatives.

Les conséquences de la timidité sont variables ; les études cliniques montrent que les timides peuvent souffrir de façon importante dune faible estime de soi, de solitude, de dépression, dabus dalcool ou de drogues et que leurs relations affectives et sexuelles sont perturbées.

De façon générale, il semble que lapparition de la timidité soit assez précoce dans lenfance ou même la petite enfance .Il est fréquent quelle puisse samender spontanément grâce au sport, au développement dun don, à la faveur des rencontres, dexpériences de moments particuliers ; les récits de personnes racontant comment elles ont dépasser leur timidité sont nombreux.

4) Anxiété de performance

Lanxiété sociale est perçue sous deux angles essentiels :

Lanxiété dinteraction : le sujet se sent évalué dans une relation à son désavantage et perd le statut dinterlocuteur valable.

Lanxiété de performance (ou trac) : le sujet est face à un observateur au centre de lattention et perd ses moyens et ses ressources. Elle peut coexister avec la phobie sociale ou se surajouter à la timidité. Le sujet nest pas dans une situation relationnelle proprement dite : cest le regard de lautre pendant la situation de performance qui pose problème

Exemples de situation : participer au sein dun groupe, jouer, donner une représentation ou une conférence, prendre la parole en public etc.

Lintensité de lappréhension. est maximale avant le moment daffronter la situation redoutée puis elle diminue : elle se « solubilise » dans laction. Il y a aussi un degré dhabituation au fur et à mesure des interventions ce qui rend ce type danxiété proche de la normalité même si là encore elle peut entraîner un lourd handicap professionnel (déclassement professionnel, emploi en deçà des compétences du sujet, faute dun bon entretien dembauche) .

Alors que la timidité pourrait se résumer comme une gêne chronique en situation sociale portant sur les autres, reflétant la crainte de ne pas être acceptée, lanxiété de performance nest quune appréhension ponctuelle en situation de performance portant sur la performance même sans concordance avec un trouble de la personnalité sous jacent.

Les troubles sexuels psychogènes largement majoritaires chez ladulte jeune, sont reliés à lanxiété de performance avec en outre, des cognitions négatives et des conduites dévitement.

Lanxiété de performance est un facteur de pérennisation et daggravation des troubles mais ne peut en général être créditée de la responsabilité initiale.

Dans les facteurs cognitifs de la dysfonction sexuelle psychogène, lon reconnaît sans peine les facteurs cognitifs centraux partagés par la timidité et le trouble personnalité évitante phobie sociale.

On peut donc comprendre que BARLOW fasse de la dysfonction érectile psychogène une forme de phobie sociale.

5) Phobie sociale

Selon le DSM4 la prévalence de la phobie sociale varierait entre 3 et 13% ; cette grande variation peut sexpliquer par les critères diagnostiques et par les outils psychométriques utilisés. La phobie sociale se développe le plus souvent au cours de ladolescence entre lage de 12 et 15 ans et sinstalle rarement après 25 ans. La phobie sociale apparaît ainsi comme le trouble psychiatrique le plus précoce et se positionne derrière la dépression majeure et la dépendance à lalcool.

Il sagit dune peur des situations sociales et des interactions avec dautres personnes qui mène à des sentiments de « public self consciousness » cest à dire la conscience aigue de soi.

Le sujet phobique devient plus susceptible de détecter les aspects de son comportement ou de celui des autres quil peut interpréter comme de preuves dune évaluation sociale négative. La phobie sociale est ainsi la peur dêtre jugée ou évalué négativement entraînant des sentiments dinadéquation, dembarras, dhumiliation et de dépression ;

La notion dattribution causale négative des représentations faites par autrui jointe à lauto centration (self focus), amène le phobique à attribuer un caractère négatif à la relation sociale, augmente son autoreprésentation désastreuse et un système en boucle augmente la probabilité des comportements dévitements sécurisants. De plus le sujet phobique semble utiliser linformation intéroceptive pour se construire une impression négative de ce que les autres pense de lui. En sappuyant donc sur les différents modèles expliquant lanxiété sociale et à partir de ses spécificités , la phobie sociale serait due aux divergences entre les caractéristiques que la personne croit posséder et les caractéristiques quelle croit que les autres considèrent quelle devrait posséder.

En fait le principal problème pour la phobie sociale cest de passer inaperçu,un peu à limage des enfants discrets dont on finit par réaliser quils ne sont pas sages mais déprimés ,quils ne sont pas discrets mais inhibés.

On a distingué deux types de phobie sociale :

* La phobie sociale spécifique : déclenchée par une situation sociale particulière

* La phobie sociale généralisée : où linconfort se retrouve dans la plupart des situations sociales.

Le phobique nose pas consulter considérant son problème comme une timidité excessive ou un trait de personnalité et attendra la survenue de complications (attaque de panique, dépression ) pour sadresser à un médecin..

Contrairement au trac, lanxiété anticipatoire ne diminue pas pendant lintervention ; il y a en outre une sensibilisation progressive du trouble à mesure des interventions.

La phobie sociale saccompagne souvent de comorbidités compliquant son diagnostic : troubles anxieux, trouble panique, dépression, alcoolisme et toxicophilie.

La principale difficulté réside dans la détermination du seuil entre les formes subsyndromiques et les phobies sociales avérées.

La phobie sociale porte en elle une dimension culturelle évidente où les critères dintégration sociale naissent des coutumes et des traditions du pays. Ainsi par exemple au Japon le Taijin Kyofu est défini par des caractéristiques qui sapparentent en premier lieu à celles de la phobie sociale : il sagit de la crainte de gêner les autres par des odeurs corporelles, par ses borborygmes ou la façon de se comporter. A lanxiété sociale sassocient donc des éléments proches de symptômes délirants. Dans certains cas des idées de référence surviendraient pour aboutir à des tableaux proches de la psychose.

6) Personnalité évitante

Sa définition et sa conceptualisation sont dues à MILLON ; les idées de cet auteur vont jouer un rôle important dans lélaboration de la classification des troubles de la personnalité du DSM3. Il distingue les personnalités détachées passives ( pers.schizoïdes) et les personnalités détachées actives ( pers.évitantes ) où le retrait social est commun mais lié à un manque de désir pour le premier cas et une hypersensibilité au rejet pour le deuxième cas.

Le trouble personnalité évitante est introduit en 1980 dans le DSM3 mais les critères diagnostic se modifieront dans le DSM3R puis dans le DSM4 mettant ainsi en relief les difficultés, pour les psychiatres de singulariser ce trouble par rapport à la phobie sociale.

DSM3 : faible estime de soi, hypersensibilité à la critique et au rejet

DSM3R : idem plus notion de difficultés en situation sociale : confusion avec phobie sociale

DSM4 : accentuation des cognitions négatives et crainte de lévaluation dautrui. Le texte entretient lambiguïté, reconnaissant comme type spécifique de la phobie sociale, la phobie sociale généralisée et en recommandant dans ce cas denvisager la personnalité évitante comme diagnostique additionnel.

Donc dans le DSM4 le trouble personnalité évitante désigne un mode général dinhibition sociale, un sentiment dincompétence sociale et une hypersensibilité au jugement dautrui.

Ici cest la personnalité toute entière, la manière dêtre dans sa globalité qui est affectée par la peur des autres. Ainsi, lanxiété de la personne évitante est plus insidieuse avec une crainte presque permanente dêtre jugée ou rejetée.

De plus, lingéniosité de la personnalité évitante est sans limites dès quil sagit de se dérober à un danger présumé : la personnalité évitante cherche à rationaliser son attitude ; le vrai problème finit par être oublié et parfois attribué à dautres raisons doù parfois une vision du monde pleine de rancoeur, damertume et de misanthropie.

Alors que la sensation dêtre lobjet de lattention serait caractéristique de la phobie sociale les sources danxiété sembleraient plus nombreuses pour la personnalité évitante.

Les personnalités évitantes éludent les responsabilités ; contrairement aux phobiques les évitants cherchent à communiquer avec leurs prochains et manifestent une grande dépendance à légard des proches qui procurent un refuge.

Leur territoire est limité à des situations familières .Il se réfugient dans un imaginaire parfois favorisé par la consommation dalcool ou de cannabis et la pathologie se complique détats dépressifs ou de troubles anxieux.

Cest la dépression qui, de par les sentiments dinfériorité et la perte dintérêt dans les relations sociales quelle induit, peut aboutir au développement d un trouble de personnalité évitante en labsence de phobie sociale .Par ailleurs , il semble exister différents types de trouble personnalité évitante liés à la prédominance de certaines dimensions , anxiété sociale ou retrait social , sensibilité interpersonnelle , peur de lattachement ou de la nouveauté.

7) Etudes comparées

Plusieurs auteurs ne trouvent pas de différences nettes entre phobie sociale généralisée et personnalité évitante que se soit au plan physiologique que cognitif. Cependant on a pu constater que la personnalité évitante est plus fortement reliée à une sensitivité interpersonnelle alors que les phobiques sociaux dénotent de plus graves déficits dans les compétences sociales

Les pensées du phobique social ne sont pas les conséquences de données réelles mais déclenchées par le jugement à priori de la situation sociale ; le phobique lancerait donc un répertoire de pensées négatives automatiques sans tenir compte de la réalité elle-même. Il y a là une différence entre le timide et le phobique : les cognitions sont de même type, leur fréquence équivalente mais le timide tiendrait compte des réactions positives dautrui contrairement aux phobiques incapables dengager cette analyse.

TURNER et al ont comparé phobie sociale et personnalité évitante en menant une étude sur 71 phobiques sociaux : le diagnostic additionnel de personnalité évitante est le plus souvent posé. Phobie sociale et personnalité évitante ne seraient que les variantes du même trouble.

Une anxiété sociale débutant sur un mode phobique peut ainsi culminer dans une situation extrême centrée sur la sensibilité à la critique eu au rejet lors de relations interpersonnelles caractéristique de la personnalité évitante.

Le DSM3R montre une absence de différences qualitatives entre les deux quil sagisse de la sémiologie, de la réponse au traitement ou des facteurs étiologiques : la personnalité évitante serait donc une forme plus sévère de la phobie sociale généralisée et sa réponse positive au traitement de la phobie associée quil soit médicamenteux ou cognitivicomportementaliste est aussi un argument en faveur de lhomologie des deux troubles.

Le DSM4R vient dentériner ce point de vue en ajoutant au chapitre diagnostic différentiel de la phobie sociale sous-chapitre personnalité évitante la phrase : « il se peut que le trouble personnalité évitante représente une variante plus sévère de la phobie sociale généralisée, sans différence qualitative avec elle ».

8) INCIDENCES THERAPEUTIQUES

Pour neutraliser lanticipation anxieuse, il ne suffit pas de rassurer, de mettre à jour le discours catastrophiste ou les comportements dysfonctionnels ou bien dexpliquer seulement les manifestations corporelles ; il faut également développer ses compétences sociales dans tout ce que cela implique c'est-à-dire dans une dimension de développement personnel globale.

a) Les techniques psycho corporelles

partent du principe que pour quil y ait estime de soi, il faut quil y ait conscience de soi et ceci avec le premier support quest le corps.

Prendre conscience de ce que lon est, ici et maintenant suggère de conjuguer corporalité et sensorialité au présent ; voilà une idée qui peut surprendre mais qui correspond à la manière de fonctionner de chaque individu avant la conceptualisation par le langage et la prise de pouvoir de la rationalisation parfois excessive.

Il sagit donc réhabiliter un corps global vécu et ressenti dans son intégralité, en développant à la fois le travail des sens et la représentation de soi.

La reconnaissance des émotions est tout aussi fondamentale ; « ce que je ressens dit ce que je suis » si je nie lémotion, cest de moi-même que je méloigne.

Le sujet anxieux vit un profond décalage entre la réalité souhaitée absolue et la réalité ressentie, posée comme réel. Le monologue intérieur de lanxiété sociale naît de cette dichotomie et le décalage ressenti est profondément vécu.

b) Traitement pharmacologiques

: les benzodiazépines à demi-vie courte peuvent aider à surmonter lanticipation anxieuse dune performance quoique potentiellement amnésiant tout comme les bêtabloquants permettent de diminuer les réactions catécholaminergiques périphériques. Ceux-ci agissent ponctuellement et restent indiqués principalement dans lanxiété de performance ;

Certains antidépresseurs sérotononinergiques ont lAMM pour la phobie sociale ; la paroxétine est le médicament le plus utilisé , à doses progressives, la dose étant légèrement plus supérieure à celle de la dépression ; la venlafaxine et le séroprame ont eu lAMM dans le traitement de la phobie sociale récemment .Cependant ils restent quun outil partiel dans sa prise en charge dont la réussite comprendra surtout la motivation du patient, le résistances de celui-ci, les renforcements de lentourage et la qualité du thérapeute. Le sujet phobique social guérit deviendra au mieux un sujet timide. Il semble cependant que les phobie sociales spécifiques répondent mieux au traitement que les formes généralisées et que les formes simples sont plus faciles à traiter que les formes de phobie sociale avec dautres troubles comorbides.

c) Education

Dans une optique de prévention des troubles de lanxiété sociale mais surtout pour accompagner au mieux la croissance du « moi social », il est important de promouvoir une éducation moins rationnelle en mettant en place dès lécole primaire des cours dexpression théâtrale ou des cours de rhétorique ! Apprendre à parler en public, à sexprimer en public doit se faire dès le plus jeune âge. Un système scolaire trop intellectualisant ne permet pas lépanouissement de la personne.

d) Traitement psychothérapiques :

Entraînement aux compétences sociales :

Ensemble de procédures visant à apprendre des comportements sociaux efficaces et à accroître lestime de soi .Les habilités sociales font référence à la capacité détablir et de maintenir des relations interpersonnelles satisfaisantes : des programmes dapprentissage progressif le permettent via du « modeling » c'est-à-dire des jeux de rôles comportementaux , du feed back , ou du renforcement social. Le thérapeute choisit avec le sujet des situations sociales types qui le met en difficulté et laccompagne graduellement dans la gestion de celles-ci.

Relaxation et désensibilisation systématique (WOLPE 1975)

Ceci désigne une procédure dapprentissage de la régulation des réactions de peur à loccasion daffrontements gradués de stimuli anxiogènes ; lexposition dabord imaginée puis réelle est hiérarchisée en fonction de lintensité de la peur et demeure contrôlée parallèlement par la relaxation. Les répétitions de la procédure sont nécessaires pour éliminer durablement les habitudes néfastes et pour transformer certains montages cognitivo-affectifs.

Restructuration cognitive

Elle donne la possibilité de restructurer consciemment, en fonction des objectifs précis, les opérations cognitive propres au sujet ainsi que les significations attribuées aux évènements en rendant compte de lirrationalité de la peur.

Le patient pourra ainsi en maîtrisant lauto observation de lui-même, de repérer la pensée irrationnelle et de la remplacer par de pensées plus réalistes.

Thérapie de groupe

Le groupe ne représente plus une source de menace de part le regard quil porte sur le sujet, il peut aussi constituer un miroir approbatif réfléchissant les qualités sociales du sujet qui ne lui sont pas accessibles à cause de ses distorsions cognitives.

Psychanalyse

Elle est peut-être la plus indiquée dans le cas de la personnalité évitante où demeure souvent des affects dautodépréciation prononcés en lien avec une éducation parentale rigide et peu valorisante .Elle permet aussi de restituer une autonomie psychique au patient.

e) Les instruments dévaluation

Il existe de nombreux instruments psychométriques dont certains sont plus spécifiques de lanxiété sociale et dautres sont des évaluations globales de lanxiété incluant des items en relation avec lanxiété sociale :

conclusion

Il existe bien un continuum entre la timidité, lanxiété de performance, la phobie sociale et la personnalité évitante . La phobie sociale généralisée correspondrait plus aux composantes anxieuse et comportementales de la timidité et la personnalité évitante plus à ses composantes comportementales et cognitives.

La timidité couvrirait toute létendue du domaine de lanxiété sociale, de la timidité normale faible ou transitoire, à la timidité sévère, équivalente à la phobie sociale généralisée, ou à son plus haut degré au trouble personnalité évitante, en passant par toute une palette sub-syndromique.

Les différences mises en évidence dans la nomenclature sont essentiellement quantitatives, probablement liées au fait que la phobie sociale est un trouble mental responsable par définition dun handicap ou dune détresse marquée, alors que limpact pathologique du trait de personnalité timidité nest pas évident et même difficilement quantifiable dans ses formes mineurs ou transitoires car souvent révélé par des crises dintimidations périodiques.

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Non A La Phobie Aujourd'hui. 

http://perso.wanadoo.fr/nalpa/index.htm

Nalpa : Non A La Phobie Aujourd'hui. Association d'intérêt général, Loi 1901 à but non lucratif.

Fonctionnant uniquement sur la base du bénévolat, sans aucune demande de subventions.

Siège Social : 11, rue Saint amour 69003 Lyon.

Acarophobie Peur des parasites de la peau. Acérophobie Peur de ce qui a un goût sûr. Achluophobie Peur de l'obscurité. Achmophobie Peur des objets pointus, des pointes. Acrophobie Peur des hauteurs, des lieux élevés, souvent accompagnée de vertiges. Aérodromphobie* Peur de l'avion, des voyages en avion. Aérophobie Peur maladive des courants d'air. Agoraphobie Phobie des espaces libres et des lieux publics. Aichurophobie* Peur de ce qui est pointu. Ailourophobie* Peur des chats. Akousticophobie* Peur des sons. Algophobie* Peur de la douleur. Amatophobie* Peur de la poussière. Ancraophobie* Peur du vent. Anemophobie* Peur du vent. Anginophobie* Phobie de l'étroitesse (on trouve aussi : peur de l'angine de poitrine). Anglophobie Aversion pour les anglais et ce qui est anglais. Anthropophobie* Peur de l'homme. Antlophobie* Peur des inondations. Antophobie* Peur des fleurs. Apéirophobie* Peur de l'infinité. Apiphobie* Peur des abeilles. Apopathodiaphulatophobie* Peur de la constipation.

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